LES VICTOIRES AU SERVICE DU MARKETING
QUE DU BONHEUR ! S’il existe un endroit où lorsque l’on est passionné, ON OUBLIE TOUT, ce sont bien les salons. Le ROC D’AZUR 2024 ne déroge pas à la règle. Entre le cadre, l’ambiance et le plaisir des yeux, cette parenthèse automnale fait du bien si vous n’êtes pas à 1000km de Fréjus.
Le dernier événement de la saison POUR TOUS !
sur le Roc d’Azur 2024, les nouveautés sont en avant première, celles déjà annoncées sur le net en “vrai”, de jeunes commerciaux qui regardent votre badge avant de ne vous serrer la main lorsque vous n’êtes pas un simple visiteur (donc sans badge), le folklore est de mise et nullement agressif. Bref on s’y sent bien !
Pour autant la cible est claire: les passionnés ! Ils cassent leur tirelire plutôt que de partir en vacance, ils économisent pour avoir le produit qu’ils ont choisi (et peu importe le prix), l’important est de l’avoir. Puis les rêveurs, ceux qui écarquillent les yeux devant un vélo à plus de 10 000€ et encore plus s’il dépasse 15 000€.
Et puis les gamins, à la chasse aux autocollants des marques ou des bidons (voire des casquettes chez Prologo), ces “goddies” représentent un maigre investissement en misant sur le futur.
Marketing donc ?
Oui. Nous n’allons pas choisir quelques marques à vous présenter dans ce premier numéro consacré au Roc 2024. Nous le martelons depuis nos premiers E-Books, l’essentiel de la communication passe désormais par les victoires des champions. Par le passé vous n’aviez aucune information sur rien, seule une presse écrite pouvait vous informer. Désormais les constructeurs misent sur leur propre communication via le net. Plus besoin de personne donc ? Si, des apprentis mécanos qui vous expliquent comment régler votre dérailleur, des sites à bannières commerciales (un peu partout) où la critique est pour le moins mesurée: “c’est très bien si vous pesez moins de 400 kg”.
On grossit le trait mais comme nous ne croyons pas à ce nouveau modèle, que nous refusons les bannières publicitaires, (idem pour les cookies), alors nous nous refusons à décerner des “Awards” aux vélos qui gagnent selon les années.